Lors de la deuxième Conférence sur le déficit du 20 mai 2010, le président de la République a annoncé qu'il souhaitait engager une modification de la gouvernance des finances publiques par la mise en oeuvre d'une réforme constitutionnelle. Cette réforme constitutionnelle prévoirait que "chaque gouvernement issu des urnes s'engage juridiquement, pour cinq ans, sur une trajectoire impérative de solde structurel, ainsi que sur la date à laquelle l'équilibre des (...)
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