Trois mois pour agir à l'encontre de l'expert-comptable

Trois mois pour agir à l'encontre de l'expert-comptable

Le client qui confie à son expert-comptable une mission de présentation de ses comptes annuels et d'établissement des bulletins de paie de ses salariés n'est pas considéré dans cette relation comme un non-professionnel. Dès lors, la clause des CGI prévoyant un délai de trois mois pour demander des dommages-intérêts au cabinet n'est pas abusive.

Suivant une lettre de mission du 7 juillet 2005, une société a confié à un cabinet d’experts-comptables une (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules